Les crises touchent particulièrement les plus jeunes. Les dernières études ont relevé que près de la moitié des réfugiés dans le monde sont des enfants. Beaucoup d’entre eux traversent les frontières sans être accompagnés.
Ana Carolina de Moura Delfim Maciel, présidente de l’association Sérgio Vieira de Mello Acnur/Unicamp au Brésil et fellow international de l’Institut Convergences Migrations, constate qu’il s’agit une situation dramatique. Elle s’inscrit néanmoins dans une continuité de crises humanitaires au 21e siècle et dans un contexte général dans lequel les plus jeunes sont souvent privés de leurs droits. Pourtant, Ana Carolina de Moura Delfim Maciel espère que le conflit en Ukraine mènera à une prise de conscience de cette problématique pour protéger les enfants dans des situations de conflits et de guerres.
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