Encourager la mobilité des migrants et garantir la portabilité de leurs droits permettrait de prendre davantage de risques en termes d’investissement dans les deux pays, le pays d’origine et le pays d’accueil, explique El Mouhoub Mouhoud, professeur d’économie à Dauphine.
Le débat engagé de manière confuse par le gouvernement sur la question des quotas d’immigration a eu pour conséquence de passer à côté de questions essentielles du point de vue économique. Parmi les différentes propositions qui permettraient d’instaurer une politique efficace et juste d’immigration économique, je voudrais m’arrêter ici sur la question de la promotion de la mobilité des migrants et interroger les politiques d’aide aux retours.
Lire la suite sur le site des Echos
Les Echos