Si le suivi psychologique des exilés se poursuit notamment par téléphone, la psychologue Marie-Caroline Saglio-Yatzimirsky, qui reçoit ces patients, s’inquiète de l’aggravation de la solitude « déjà extrême » chez certains, et souligne la similarité entre la situation actuelle de confinement et leurs vécus dans leurs pays d’origine, ressentie par les autres. (accès abonnés)
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